Lorsque nous achetons un produit plutôt qu’un autre sur la base de ce qui nous convient, de ce qui nous est utile ou de ce qui nous plait (parce qu’il est moins cher, plus utile ou qu’il nous plait davantage), nous utilisons au mieux nos connaissances (informations). Mais savons-nous aussi si ce produit que nous avons choisi respecte l’environnement, s’il n’est pas le fruit du travail des enfants, si sa durée de vie est supérieure, etc. ?

C’est, entre autres objectifs, pour contribuer à faire comprendre les implications environnementales, éthiques, sociales et économiques d’un choix de consommation qu’est née la Bibliothèque de l’école de la consommation consciente (Scuola del consumo consapevole). Celle-ci est riche de 1800 volumes (Catalogue mis à jour en octobre 2016) que quiconque peut consulter librement et emprunter gratuitement (http://www.cr.piemonte.it/web/per-il-cittadino/biblioteca-della-regione/biblioteca). Une section de la bibliothèque est consacrée à la lutte contre le gaspillage : c’est celle-ci que nous vous présentons ici.

 

 

 

 

 

 

 

L'ACQUA CHE MANGIAMO

 

Auteur:

Titre: L’acqua che mangiamo. Cos’è l’acqua virtuale e come la consumiamo

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: marzo 2013

Pages: 288

 

Dans un monde aux ressources limitées, il n’est pas seulement souhaitable de se poser des questions quant à nos styles de vie et à notre consommation : c’est aussi nécessaire. L'Italie est le troisième importateur net d’« eau virtuelle » au monde. Qu’est-ce que cela signifie ? Pourquoi est-ce important de parler de l’eau et de la nourriture ? Pour produire un kilo de pâtes, il faut environ 1 924 litres d'eau. L’empreinte hydrique d’une pizza de 725 grammes est à peine inférieure : 1 216 litres. C’est précisément cela l’« eau virtuelle » : c’est la quantité d’eau nécessaire pour produire les aliments, les biens et les services que nous consommons chaque jour. En appliquant ce concept, nous allons découvrir que nous consommons beaucoup plus d’eau que celle que nous voyons effectivement « couler » sous nos yeux.

 

Nous ne parvenons pas à la percevoir comme telle parce que c’est de l’eau que nous « mangeons », littéralement : elle est contenue, de manière invisible, dans les aliments que nous consommons et provient de tous les coins du monde. « L’eau que nous mangeons » explique, par une approche multidisciplinaire, le problème hydrique et ses implications économiques, sociales et politiques. Cet ouvrage sert idéalement de pont entre ceux qui se consacrent aux recherches académiques et scientifiques et ceux qui s’intéressent aux grandes questions de la durabilité environnementale. Il propose de nombreuses clefs de lecture par le biais du travail des plus grands experts d’Italie et du monde entier.

(Extrait du site : ibs.it)

 

 


 

 

 

libro1L'ALTRA SPESA

 

Auteur:

Titre: L’altra spesa. Consumare come il mercato non vorrebbe.

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: aprile 2010

Pages: 224

 

 

Chaque fois que tu achètes quelque chose, tu votes. C’est le point commun à toutes les pratiques de consommation critique en Italie, dont les GAS, les groupes d’achat solidaire, sont aujourd’hui l’expression la plus connue et originale. Ce qui rend unique cette expérience totalement italienne, née des mouvements associatifs, c’est le « S » final de son nom, qui indique que la solidarité vient avant tout, même avant les économies. La solidarité avec les fournisseurs et les petits producteurs biologiques que les grossistes étranglent, mais aussi au sein du groupe, dont les membres se partagent les tâches et l’organisation. C’est  un mouvement qui s’est développé en dehors des modèles traditionnels, sans structure décisionnelle centralisée, mais qui échange idées et suggestions en ligne, lance des projets et fait face aux contradictions.

 

Au fil des années, les achats alternatifs des GAS ont progressé, des expériences de coproduction ont vu le jour pour protéger la biodiversité, le panier d’achats s’est ouvert à l’habillement et aux services et les DES, les districts d’économie solidaire, sont en voie de conception : ils couvriront toutes les réalités de consommation critique du territoire. C’est un défi à découvrir, qui est facile à relever. Ce livre le raconte à travers diverses histoires, différents sujets et les points de vue de ceux qui se sont lancés dans l’entreprise. Et il répond aux questions de ceux qui voudraient essayer.

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 

 


 

 

libro2AMERICAN WASTELAND

 

Auteur:

Titre: American Wasteland. How America throws away nearly half of its food (and what we can do about it)

Éditeur: Lifelong books

Année: ottobre 2010

Pages: 366 

 

 

Des plats à peine goûtés et laissés dans l’assiette, au restaurant. Des produits frais qui pourrissent dans les réfrigérateurs… Du champ à la table, l’Amérique gaspille une quantité de nourriture impressionnante – jusqu’à 40% de ce qu’elle produit sur son territoire.

 

Dans ce livre, Jonathan Blooms explore ce tas de déchets pour découvrir ce que les aliments gaspillés révèlent de nous, pourquoi ce problème est si sérieux et, surtout, comment chacun de nous peut s’engager, entre les quatre murs de sa propre cuisine, à réduire le gaspillage alimentaire et à faire des économies.

 

 


 

 

 

libro3INVITO ALLA SOBRIETÀ FELICE

 

Autori: .

Titre: Invito alla sobrietà felice

Éditeur: EMI

Année: 2003

Pages: 192

Autori: Gianfranco Bologna, Francesco Gesualdi, Fausto Piazza, Andrea Saroldi.

 

 

 

 

« Je me demande s’il est vrai que nous voulons aller mieux, alors qu’au jour le jour, nous faisons tout pour aller plus mal. Je veux dire que nous ne faisons qu’une seule chose : nous obéissons aveuglément au marché, à cette fièvre technico-économique qui domine le monde. Nous travaillons plus, plus vite, avec plus d’anxiété. Pour quoi faire ? Le seul fait de se le demander est déjà un miracle en soi, parce que nous n’avons plus le temps de nous le demander »

(Alex Langer).


Dans ce livre, des experts qualifiés tracent ensemble la voie à suivre pour mener le monde du point où il en est aujourd’hui à celui où nous devons le conduire en l’espace d’une génération, pour qu’existent encore la beauté, la joie et la justice.

Nous devons changer de vie pour que la vie sur terre puisse, elle aussi, lentement se régénérer.

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 


  

 

 

libro5LA SFIDA DELLE CENTO COSE

 

Auteur:

Titre: La sfida delle 100 cose. Come mi sono liberato di quasi tutto, ho ricostruito la mia vita e mi sono riappropriato della mia anima.

Éditeur: Tecniche Nuove

Année: aprile 2011

Pages: 216

 

 

 

 

En 2008, Dave Bruno, un père de famille comme tant d’autres, a décidé d’échapper aux assauts incessants de la société de consommation en renonçant au superflu et en s’adaptant pour vivre avec cent objets seulement. Il ne se doutait pas que son histoire aurait servi de déclic et donné naissance à un véritable mouvement : d’emblée, sa démarche a suscité l’intérêt des médias et nombreux sont ceux qui ont suivi son exemple.

 

La sfida delle 100 cose est une réaction contre la culture de la consommation, qui suscite un désir constant d’acheter des choses, même si celles-ci ne procurent jamais un authentique sentiment de satisfaction. Dave Bruno raconte des anecdotes intéressantes et donne des conseils pratiques pour se libérer du superflu et vivre une vie plus riche de contenus. La sfida delle 100 cose offre une occasion unique de réfléchir aux effets positifs du rejet de la société de consommation et de les découvrir concrètement.

 

www.la sfidadelle100cose.it

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro6FARM CITY

 

Auteur:

Titre: Farm City. L’educazione di una contadina urbana.

Éditeur: Slow Food.

Année: 2011

Pages: 384

 

 

 

« Ma ferme se trouve dans le ghetto, dans une rue sans issue ». C’est par cette phrase intrigante que commence la biographie de Novella Carpenter, fille d’un couple de hippies. Bienvenue dans le ghetto de Ghost Town, dans les bas-fonds d’Oakland, en Californie, où Novella a déménagé avec son mari, Bill. Bâtiments à la peinture écaillée, voitures délabrées, tas d’ordures le long des rues, travail au noir et terrains vagues. Un quartier peuplé d’une humanité disparate, où l’ambiance est explosive : commerçants yéménites, tagueurs, prostituées et dealers, familles vietnamiennes, adolescents afro-américains, entrepreneurs immobiliers véreux, moines bouddhistes et « panthères noires », footballeurs latinos, sans-abri, un mélange de races, de cultures et d’expériences, un ensemble d’aberrations qui sont pourtant parvenus à vivre les uns à côté des autres. Fascinée par l’idée de l’autosuffisance alimentaire, Carpenter transforme un terrain vague infesté de mauvaises herbes et couvert d’immondices en potager, d’abord, puis en une véritable ferme.

 

Pas seulement de la salade et des tomates, donc, mais aussi des dindes, des oies, des poules, des canards et des cochons. L’ouvrage est une chronique amusante, au jour le jour, bourrée d’anecdotes, de rencontres, de suggestions pratiques et de conseils gastronomiques, de la façon dont Carpenter parvient à concrétiser le rêve de sa vie, au prix d’une immense fatigue et en surmontant bien des contretemps. Mais c’est aussi une réflexion profonde sur toutes ces choses qu’aujourd’hui et de plus en plus, nous sacrifions sur l’autel de la fast life.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 


 

 

 

 

libro7ECOCUCINA

 

Auteur:

Titre: Ecocucina. Azzerare gli sprechi, risparmiare ed essere felici

Éditeur: Gribaudo

Année: giugno 2012

Pages: 144

 

 

 

Saviez-vous que les feuilles d’artichaut sont délicieuses ? Et qu’il n’il n’y a rien à jeter dans la citrouille, même pas la peau ? De plus en plus, les gens souhaitent éviter de gaspiller, y compris dans la cuisine, un secteur où les concepts de durabilité et d’économie font de plus en plus d’adeptes. Lisa Casali revient sur un thème qui lui tient particulièrement à cœur et nous indique une nouvelle approche, sur la base d’une simple affirmation : oui, il est possible de préparer de bons petits plats en utilisant ces parties d’aliments que l’on élimine généralement en pensant qu’elles ne sont pas comestibles. Non seulement ce sont souvent les plus riches du point de vue nutritionnel, plus que les parties dites « nobles », mais elles permettent de réaliser des recettes colorées et pleines de fantaisie, aux saveurs étonnantes. Une cuisine savoureuse et respectueuse de l’environnement qui, de l’amuse-bouche au grand plat, peut transformer en événement chaque moment de la journée et chaque occasion : du déjeuner au bureau aux menus des jours de fête, du goûter à la fête d’anniversaire. Un volume plein de suggestions avec de nombreuses recettes qui valorisent pleinement les fruits et légumes, en présentant les aliments sous tous les angles.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro8LA CUCINA A IMPATTO (QUASI) ZERO

 

Auteur:

Titre: La cucina a impatto (quasi) zero

Éditeur: Gribaudo

Année: 2010

Pages: 144 

 

 

 

Cuisiner de manière durable c’est facile : nous pouvons réduire notre impact sur l’environnement simplement en intervenant sur les petits gestes quotidiens. Chaque geste effectué de manière responsable est un pas important vers un mode de vie plus attentif et conscient.

La cuisine à faible impact environnemental nous fait du bien à nous aussi parce qu’elle nous donne la possibilité de manger de manière plus saine et avec plus de goût.

 

Vous trouverez dans ce livre beaucoup de conseils et de suggestions pour respecter l’environnement dans la cuisine, en commençant par le choix des ingrédients pour finir avec les méthodes de cuisson. Et pour mettre tout de suite en pratique les principes de la cuisine durable nous vous proposons de nombreuses recettes de plats délicieux qui utilisent de manière créative les parties des aliments que nous éliminons d’habitude : la peau des tomates, les arêtes des poissons et les graines des courges n’ont jamais été aussi appétissantes !

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro9MENO 100 CHILI

 

Auteur:

Titre: Meno 100 chili. Ricette per la dieta della nostra pattumiera

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: settembre 2011

Pages: 224

 

 

 

Tirant son inspiration d’un spectacle théâtral qui a connu un remarquable succès, Meno 100 chili explique comment réduire, presque à zéro, la quantité de déchets que nous produisons chaque jour à la maison et au travail. En alternant approfondissement scientifique, histoires et anecdotes, Roberto Cavallo passe en revue tous les gestes de notre vie quotidienne et, pour chacun d’eux, nous suggère comment faire pour réduire la quantité de déchets qu’il pourrait produire. Du détergent en vrac à l’eau du robinet, des conseils pour produire du compost directement chez soi à l’utilisation des couches écologiques, des bureaux qui économisent le papier et l’électricité aux fêtes d’anniversaire zéro déchets... Des résultats décidément surprenants, parce que s’il est vrai que notre poubelle est toujours prête à engraisser aux dépens de l’environnement et de notre portefeuille, il est aussi vrai qu’il est facile et avantageux de produire moins de déchets et que cela peut même être amusant.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro10MANUALE DEL CONSUMATORE CONSAPEVOLE

 

Auteur:

Titre: Manuale del consumatore consapevole

Éditeur: Xenia

Année: 2011

Pages: 256

 

 

 

Consommer : est-ce un automatisme induit ou un choix raisonné ? C’est en tout cas une nécessité, mais on peut choisir de consommer « avec style ». Ainsi, lorsque par exemple, nous remplissons notre chariot de courses, décidons comment nous déplacer ou choisissons nos vacances, ce qui nous guide peut ne pas être le martelage publicitaire mais un choix plus critique, qui tient compte non seulement de nos goûts et de notre légitime satisfaction mais aussi du respect des personnes, de l’environnement et des animaux. Consommer, ce n’est pas seulement acheter. L’on pense parfois que les choix éthiques concernent uniquement le type de produits que l’on achète et l’endroit où on les achète. Certes, c’est important, mais il ne faut pas perdre de vue le fait que consommer n’implique pas nécessairement un achat. Consommer en étant conscient de ce que l’on fait, c’est aussi partager, échanger, réutiliser. Ce manuel entend aider le lecteur à s’orienter dans l’univers complexe de la consommation. Apprendre à lire une étiquette, trier correctement les déchets, remplacer les détergents polluants par des produits faits maison ne sont que quelques-uns des conseils pratiques réunis dans cet ouvrage.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro11NUVOLE E SCIACQUONI

 

Auteur: Prefazione di Alberto Angela

Titre: Nuvole e sciacquoni. Come usare meglio l’acqua, in casa e in città.

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: settembre 2008

Pages: 208 

 

 

 

L’eau est l’« or bleu » du troisième millénaire, une source potentielle de conflits comme c’est déjà le cas pour le pétrole. Ce n’est pas une ressource infinie et alors que près d’un milliard de personnes n’en ont pas assez pour satisfaire leurs besoins de base, dans les pays occidentaux développés, on la gaspille bien souvent avec la plus grande indifférence. Ce livre soutient en revanche qu’il est possible de réduire considérablement la consommation domestique d’eau et la pollution qui l’accompagne, sans pour autant renoncer au niveau de confort auquel nous sommes habitués depuis longtemps.

Mais pour ce faire, il faut amorcer une petite « révolution » d’ordre culturel, avant même que technique et politique.

 

Qui a dit que le réservoir des WC doit être rempli d’eau potable ? Et pourquoi avons-nous cessé de recueillir et d’utiliser l’eau de pluie ? Nuvole e sciacquoni analyse les stratégies qui ont été adoptées au fil des siècles pour gérer l’eau dans les maisons et dans les villes et explique qu’il est possible de l’utiliser d’une manière plus intelligente (…).

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro12ZERO RIFIUTI

 

Auteur:

Titre: Zero rifiuti. Manuale di pratiche individuali e collettive per prevenire i rifiuti, cambiare la propria vita e l’economia

Éditeur: Edizioni Altraeconomia

Année: aprile 2011

Pages: 102

 

 

 

Une maison sans poubelle, une ville sans décharge, c’est possible !

Ce manuel explique pourquoi prévenir vaut mieux que guérir ou, en l’occurrence, traiter : tout ce qu’il faut faire au niveau individuel et collectif pour vivre sans déchets. Le défi d’aujourd’hui n’est pas seulement de recycler, mais d’« éviter » les déchets : les réduire ou les éliminer et remplacer les objets dont la durée de vie est limitée par des biens durables.

Et, comme Gandhi, devenir nous-mêmes des « nettoyeurs » à la maison ou au bureau. Préface de Paul Connett et Rossano Ercolini, défenseurs historiques de la stratégie Zéro Déchets.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro13QUANTO BASTA?

 

Auteur:

Titre: Quanto basta. La società dei consumi e il futuro della Terra.

Éditeur: FrancoAngeli

Année: 1994

Pages: 160

 

 

 

(…) L'irrésistible ascension du modèle de vie de la société de consommation représente le changement le plus rapide et important que l’espèce humaine ait jamais expérimenté au quotidien. En l’espace de quelques générations, un cinquième de l’humanité, la population la plus riche, est devenu automobiliste, téléspectateur, client de centres commerciaux et acheteur de produits jetables.

Le paradoxe tient au fait que, si la société de consommation a démontré sa formidable capacité de nuire à l’environnement, elle n’est pas parvenue à nous rendre satisfaits de nous-mêmes. C’est comme si elle nous avait donné une indigestion de biens matériels et, ce faisant, avait accentué tous nos problèmes sociaux, psychologiques et spirituels.

 

Par ailleurs, à l’autre extrémité de l’humanité, il y a la misère que connaissent plus d’un milliard de personnes, un phénomène moralement odieux et encore plus délétère pour l’esprit humain, et qui peut s’avérer tout aussi nuisible pour l’environnement : il suffit de penser aux paysans affamés qui, pour survivre, brûlent ou abattent les forêts. Si la Terre, et l'homme, souffrent tant du trop que du trop peu, l’on peut légitimement se demander où est la limite ? Quel est le niveau de consommation maximal que la planète peut supporter ? À partir de quel moment l’augmentation des biens produits et consommés n’ajoute-t-elle plus rien à la qualité de la vie ? (…)

Durning arrive à cette conclusion que les destins de l’humanité et du « règne naturel » sont intimement liés et, pour une large part, dépendent précisément de nous, les consommateurs des pays riches. Nous pouvons réduire l'utilisation des biens qui détruisent l’environnement et, au contraire, développer notre soif de besoins immatériels (relations familiales et sociales, gratifications professionnelles). Nous pouvons aussi abdiquer toute responsabilité à l’égard de la partie la plus pauvre de l’humanité et de l’environnement et laisser notre style de vie détruire la Terre.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro14OCCHIO ALLO SPRECO

 

Auteur:

Titre: Occhio allo spreco. Consumare meno e vivere meglio.

Éditeur: Bur Rizzoli

Année: 2009

Pages: 208

 

 

 

Il existe une voie pour sortir de la crise. Une voie praticable, pavée de bon sens et faite de gestes simples mais efficaces, comme réutiliser les sacs en plastique, opter pour les piles rechargeables et les matériaux biodégradables et mettre sa créativité au service des économies d’énergie. Au fil des pages, Cristina Gabetti propose au lecteur un vaste assortiment de recettes surprenantes pour mener une vie plus sobre mais surtout plus en harmonie avec le monde où nous vivons : « Dehors, il y a un grand bouillonnement mais ce ne sont que des mots si vous ne rentrez pas dans le jeu. Et il s’agit vraiment d’un jeu. Je vous présente des cas concrets dont vous pouvez vous inspirer ». Alors, gare au gaspillage !

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro15BASTA POCO

 

Auteur:

Titre: Basta poco.

Éditeur: Einaudi

Année: 2011

Pages: 170 

 

 

 

Il suffit de peu de choses pour changer le monde, pas à pas. Et il suffit de peu à qui veut vivre bien, heureux et sans gaspillage. Après Non sprecare, Antonio Galdo revient sur le changement nécessaire (et possible) de notre modèle de consommation et de développement, en exposant les grandes idées qui pourraient sauver la planète, mais aussi les comportements quotidiens susceptibles d’améliorer le monde qui nous entoure. Si la crise globale risque de nous rendre tous plus pauvres, peut-être vaut-il la peine de redécouvrir la sobriété ; si la pollution et l’exploitation des ressources naturelles menacent notre avenir, peut-être faut-il comprendre que l’on peut vivre mieux avec moins ; si le travail, la circulation et le stress dévorent nos journées, peut-être pouvons-nous revenir à un rapport plus équilibré avec le temps et l’espace qui nous entoure. Comment pouvons-nous nous affranchir de notre dépendance à l’égard du pétrole ? Comment pouvons-nous mieux utiliser les outils technologiques dont nous disposons, sans qu’ils nous dominent ? Comment revenir au plaisir de la normalité, sans tomber dans l’obsession de la décroissance ? Un livre qui réunit des histoires venues du monde entier, à la frontière de l’innovation, mais aussi de la dimension individuelle de nos choix quotidiens.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro16NON SPRECARE

 

Auteur:

Titre: Non sprecare

Éditeur: Einaudi

Année: 2008

Pages: 170

 

 

 

Un monde sens dessus dessous, qui change bien plus vite que nous ne l’aurions imaginé il y a seulement quelques années. Une grande crise, cruelle et impitoyable, qui s’abat sur les plus faibles. Une transformation tumultueuse qui affecte le destin de chacun d’entre nous. Voilà la grande occasion qui nous oblige à repenser d’un seul coup l'économie, la politique et la société. Nos façons de produire et de consommer. Notre modèle de développement et le prix des courses. C’est un ordre catégorique, simple mais nécessaire – « ne pas gaspiller » – qui nous servira de boussole pour parvenir à une nouvelle époque dont nous ne pouvons pour le moment qu’entrevoir les contours. Parce que « ne pas gaspiller » ne signifie pas seulement réduire les dépense inutiles, ne pas jeter les aliments à la poubelle ou éteindre la lumière quand on n’en a pas besoin. C’est aussi et surtout faire le choix responsable de nouveaux styles de vie qui alimentent une nouvelle croissance économique. C’est engager la politique à retrouver sa place prépondérante par rapport au marché et aux marchands, pour défendre la démocratie et l’équité.

 

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 


 

 

 

 

libro16DAR DA MANGIARE AGLI AFFAMATI

 

Auteur:

Titre: Dar da mangiare agli affamati. le eccedenze alimentari come opportunità

Éditeur: Guerini e Associati

Année: 2012

Pages: 266

 

 

 

Les excédents générés par la filière agro-alimentaire – en Italie, 6 millions de tonnes, soit 17% de la consommation alimentaire annuelle – représentent un véritable défi pour ceux qui se demandent comment soulager la pauvreté alimentaire et pour ceux qui s’engagent à en aider les victimes. Leur nombre ne cesse de croître, ce qui rend la situation encore plus dramatique, face à une crise qui ne semble pas devoir se résoudre rapidement. Quand les excédents ne sont pas récupérés pour répondre aux exigences alimentaires des personnes, ils rentrent dans la catégorie du gaspillage, du point de vue social, en tout cas. Cependant, tous les excédents ne sont pas nécessairement éliminables à la source ; ils constituent donc une opportunité pour réduire l'insécurité alimentaire. Le présent ouvrage illustre les résultats d’une première tentative de fournir une vision d'ensemble du phénomène des excédents alimentaires et du gaspillage aux divers stades de la filière agro-alimentaire italienne. Sur la base de plus de 100 études de cas effectués dans le secteur primaire, dans l’industrie de la transformation, dans la distribution et dans la restauration et d’une enquête qui a concerné plus de 6 000 foyers, les causes des excédents alimentaires ont été déterminées et les quantités de ces excédents et du gaspillage ont été estimés pour les différents secteurs et à l’échelon national. Le livre présente également les modalités de gestion qui permettent de réduire le gaspillage et de destiner les excédents au réseau de banques alimentaires et aux organismes de bienfaisance.

 

(Extrait du site Ibs)

 

 


 

 

 

libro17SOBRIETÀ

 

Auteur:

Titre: Sobrietà. Dallo spreco di pochi ai diritti di tutti

Éditeur: Feltrinelli

Année: febbraio 2005

Pages: 163 

 

 

 

Nous devons faire face à un dilemme angoissant : plus de croissance économique pour sortir de la pauvreté ou moins de croissance économique pour sauver la planète ? Il y a un moyen pour conjuguer équité et durabilité. La solution est dans le fait que les peuples riches se convertissent à la sobriété, c’est-à-dire acceptent un style de vie, personnel et collectif, plus parcimonieux, plus propre, plus lent, plus inséré dans les cycles naturels, afin de laisser aux pauvres les ressources et les espaces environnementaux dont ils ont besoin. De la protestation tout court l’on passe à la proposition d’un nouveau style de vie qui nous porte à éviter le gaspillage qui fait partie de notre vie quotidienne.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro18FOOD MOVEMENTS UNITE!

 

Auteur:

Titre: Food movements unite! Strategie per trasformare i nostri sistemi alimentari

Éditeur: Slow Food

Année: novembre 2011

Pages: 416

 

 

 

Le régime alimentaire dominé par les multinationales est destructif du point de vue de l’environnement, instable du point de vue financier, injuste du point de vue social. Plus qu’une critique de ce régime, Food Movements Unite! est la proposition d’une stratégie commune, une fenêtre sur la pensée et sur les actions des mouvements pour l’alimentation – vastes, très diversifiés et agréablement créatifs – qui naissent et se développent un peu partout et luttent pour rétablir la démocratie de nos systèmes alimentaires, ainsi que pour remplacer l’oligarchie des corporations par une vision d’espoir, d’égalité et de durabilité.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro18FOOD REBELLIONS!

 

Autori:

Titre: Food Rebellions! La crisi e la fame di giustizia

Éditeur: Slow Food

Année: 2010

Pages: 328

 

 

 

 

« Food Rebellions! » est une ressource analytique pour quiconque désire comprendre la crise alimentaire globale. C’est également un manuel rempli d’informations pour ceux qui désirent faire quelque chose à ce propos. La première partie contient une analyse claire et concise des causes tant immédiates que profondes de la crise. L’on y trouve des exemples spécifiques de la manière dont les peuples du Sud global et les communautés mal desservies du Nord industriel ont perdu le contrôle de leurs propres systèmes alimentaires, ainsi que de la vulnérabilité fondamentale qui s’en est suivie et qui est à la base de la crise actuelle. La seconde partie analyse et critique les solutions proposées par les principales institutions financières et celles pour les aides et le développement ; l’on y découvre au grand jour les faits pris pour acquis mais non vérifiés et les ordres du jour non déclarés sur lesquels reposent ces initiatives. Suivent des exemples, pris dans le monde entier, de la « lutte pour les espaces et les lieux » entre ces projets et des tentatives effectuées de bas en haut pour affirmer une production et une distribution alimentaire juste, agroécologique et contrôlée localement. La conclusion du livre propose des démarches, des politiques et des actions concrètes pour résoudre la crise alimentaire et réorienter les systèmes de production d’aliments sur la voie de la souveraineté alimentaire.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 


 

 

 

libro19ECOLOGIA DEL RISPARMIO

 

Auteur: Giulia Landini

Titre:Ecologia del risparmio. Consigli pratici per risparmiare a casa e vivere con eco-stile

Éditeur: La Linea

Année: aprile 2013

Pages: 160

 

 

 

Comment appliquer concrètement les théories de la « décroissance heureuse », ainsi que du mouvement de « transition » et les transférer dans le cadre limité de nos maisons et de nos existences ? La recette de Giulia Landini comporte sept ingrédients incontournables dans la mallette du nouvel écologiste : vinaigre, bicarbonate, acide citrique, citron, levure naturelle, connexion internet et chaussures de gymnastique. Ainsi commence un amusant voyage à travers les autoproductions domestiques, la cuisine des restes, les avantages du recyclage et du troc, l’importance du partage et de la constitution des réseaux de quartier.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro20COME SI ESCE DALLA SOCIETÀ DEI CONSUMI

 

Auteur:

Titre: Come si esce dalla società dei consumi. Corsi e percorsi della decrescita.

Éditeur: Bollati Boringhieri

Année: 2011

Pages: 207

 

 

 

Latouche reprend ici tous les principaux thèmes et arguments de sa réflexion sur la nécessité d’abandonner la voie de la croissance illimitée sur une planète aux ressources limitées. Selon lui, il ne s’agit pas d’un choix entre le bon et le mauvais développement, mais bien de sortir du développement en lui-même, de sa logique et de son idéologie. Pour ce faire, il faut tout d’abord « décoloniser l’imaginaire », une mission d’une portée historique dans le cadre de laquelle il est essentiel de dialoguer avec les maîtres de la tradition « libertaire », d’Ivan Illich à André Gorz, en passant par Cornelius Castoridias.

Selon Latouche, même la crise actuelle peut être vue comme une « bonne nouvelle », si elle sert à nous ouvrir les yeux sur le caractère insoutenable du « progrès » réalisé par l’Occident jusqu’à maintenant. Pour lui, en effet, la voie de la « décroissance sereine » passe en premier lieu par la prise de conscience du fait que le développement est une invention de l’homme et que le rapport entre celui-ci et la nature peut être remodelé pour prendre une dimension « conviviale », dans le respect de la loi de l’entropie et à l'enseigne de ce qu’il appelle l’« opulence frugale » : moins de consommation matérielle et plus de richesse intérieure, moins de « bien-être » et plus de « bien vivre ».

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro21LIMITE

 

Auteur:

Titre: Limite

Éditeur: Bollati Boringhieri

Année: 2012

Pages: 113

 

 

 

Repousser les limites est un impératif pour notre temps. Aller au-delà du possible, dépasser les bornes, transgresser au sens étymologique du terme. Quel destin paradoxal que celui des mots. Au nom de la transgression, hier encore l’on se moquait des interdits imposés par l’autorité et par les bien-pensants, l’on aspirait à l’équité sociale. Des siècles auparavant, de grands courants de pensée s’étaient lancés dans la bataille contre les valeurs transmises et, ce faisant, avaient inauguré la modernité. Mais l’« aller au-delà » d’aujourd’hui est l’emblème de la domination, parce que cette démarche relève d’un modèle de développement planétaire qui ne respecte qu’une seule règle : ignorer toute limite naturelle, géopolitique, éthique, anthropologique et symbolique, en en assimilant l’idée même à une crainte passéiste dont il faut se défaire pour ouvrir la porte aux marchés. Le péché de démesure, sanctionné avec sévérité par les anciens, est devenu un principe ; la fureur prométhéenne a pris le pas sur l’esprit de subversion. Serge Latouche n’est pas d’accord. Depuis plusieurs années, il élabore un projet d’alternative praticable au binôme « croissance » et « sans limite ». Son projet s’appelle « décroissance » et repose sur le concept stratégique de la « limite ». Synonyme de privation dans une perspective de développement, la limite est ici le véritable « point fort » qui peut nous éviter de tomber dans l’abîme. À l’outrecuidance autodestructive de l’universalisme du libre-échange et à l’omniprésence de ses invariants culturels – la réduction au statut de marchandise exportable des régimes politiques, des principes juridiques, des gestes, des croyances et des images – Latouche oppose les éco-compatibilités, les souverainetés circonscrites, les identités plurielles, les liens qui créent une société. Tout ce autour de quoi l’on peut tracer une limite. Dans l’espoir qu’il ne soit pas trop tard.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

  

 

libro22USA E GETTA

 

Auteur:

Titre:Usa e getta. Le follie dell’obsolescenza programmata.

Éditeur: Bollati Boringhieri

Année: 2013

Pages: 114 

 

 

 

Des imprimantes conçues pour cesser de fonctionner après l’impression de dix-huit mille pages, ou des ordinateurs hors d’usage en l’espace de deux ans : nous ne nous trouvons pas en face d’une étrange mortalité électronique digne de la science-fiction mais bien de la manifestation la plus récente d’un phénomène qui fait partie intégrante de la société de la croissance. C’est l’« obsolescence programmée », qui est associée à notre mode de production, de consommation, à notre façon de penser et de vivre. Cela signifie que la fragilité des objets mis en vente est calculée, si bien que la durée de leur garantie coïncide souvent avec leur durée de vie effective. Impossible de les réparer. Il faut les jeter et les remplacer immédiatement, encore et encore. Et Serge Latouche est aujourd’hui le principal accusateur de cette illimitation maladive, qui nous entraîne toujours plus dans la spirale de l’hyperproduction, de la turbo-consommation et du gaspillage monstrueux. Avec sa capacité d’épingler les déviances d’une économie qui mène à la catastrophe, il remet en ordre les antécédents historiques et frauduleux des produits jetables, en démasque la logique symbolique et indique une voie d’issue : une prospérité sans croissance, perspective frugale mais diverse de la paupérisation, en mesure de décoloniser l’esprit de l’impérialisme des marchandises et de retrouver le rythme humain de la durabilité, de la réparabilité et du recyclage.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro23SOBRIETÀ FELICE

 

Auteur:

Titre: Sobrietà felice. Otto incontri e una rivoluzione possibile

Éditeur: La meridiana

Année: 2011

Pages: 80

 

 

 

Qu’entend-on par « sobriété heureuse » ? La réponse est claire : avoir moins de surabondance ; avoir et faire ce qui sert vraiment et rien de plus ; disposer de l’espace entre les choses, de la virgule entre les mots, de la pause entre deux respirations. Autrement dit, se sentir mieux. Certainement. Et le fait d’aller mieux aiderait aussi le reste du monde à aller mieux. Bien sûr, consommer moins ou de manière plus avisée permettrait de réduire le gaspillage, d’économiser les ressources, de polluer moins, de redistribuer – en partie du moins – les richesses et de combler certains déséquilibres macroscopiques. Et pourtant, ce qui nous intéresse, c’est seulement d’être heureux. Nous voulons juste que les enfants et les jeunes découvrent une vérité simple et presque banale : souvent les objets nous encombrent et nous empêchent de vivre bien et de nous amuser. Disons que si l’on en enlève, l’on peut s’amuser davantage, aller mieux et être plus heureux. Et surtout, l’on fait de la place pour quelque chose de nouveau, qui peut nous rendre plus heureux que les objets.

Ce livre naît de l’expérience des auteurs. Tout ce qui se trouve entre ces pages n’est pas seulement destiné à être lu, mais aussi à être utilisé – pour jouer, même – et a été expérimenté à plusieurs reprises avec de nombreux groupes d’enfants, de jeunes ou d’adultes. Ce serait une bonne chose que l’expérience puisse être répétée partout, pour rendre à l’école son rôle éducatif central sur le territoire où elle se trouve. Un peu comme un parcours : on part de l’idée de limite, puis on passe aux désirs, et enfin, en suivant le fil du raisonnement, l’on arrive à la sobriété heureuse. Prêts?

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro24PREPARIAMOCI

 

Auteur:

Titre: Prepariamoci a vivere in un mondo con meno risorse, meno energia, meno abbondanza... e forse più felicità

Éditeur: Chiarelettere

Année: 2011

Pages: 224

 

 

 

Jamais il n’y a eu autant de crises en même temps : climat, environnement, énergie, ressources naturelles, alimentation, déchets, économie. Et pourtant la menace de la catastrophe ne fait peur à personne. Que faire ? Il nous faut une nouvelle intelligence collective. Stop aux débats entre politiciens mal informés ou en conflit d'intérêt. Si nous les attendons, il sera trop tard, si nous nous débrouillons seuls ce sera trop peu, mais si nous nous y mettons tous ensemble, nous pourrons vraiment changer les choses. L'auteur raconte son itinéraire vers la résilience, c’est-à-dire la capacité de faire face sereinement à un futur plus incertain, et explique pour quel programme politique il voterait. Le changement doit commencer par nos maisons (mieux isolées), par nos habitudes, plus saines et économiques (de la consommation d'eau aux transports, des déchets aux énergies renouvelables, du potager à l’engagement civique). Aujourd’hui, nous ne pouvons plus attendre de solution miraculeuse : alors mieux vaut que le cerveau soit toujours « allumé », mais les lumières, elles, seulement quand on en a besoin.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro25BASTA!

 

Auteur:

Titre: Basta! Con i consumi superflui. Con chi li incentiva. Con chi non sa farne a meno.

Éditeur: Fazi.

Année: 2009

Pages: 229

 

 

 

Au cours des deux derniers siècles, l'homme a mis en œuvre une stratégie de survie simple mais brillante : l'abondance. Quel que soit ce dont il avait besoin, le « truc » consistait à tenter d’en obtenir toujours plus : un rang plus élevé, toujours plus de nourriture, d’argent ou d’informations. Et de ne jamais se contenter, d’en demander encore et encore. Ce n’est que de cette manière qu’il est parvenu à surmonter les famines, les épidémies et les catastrophes naturelles. Mais aujourd’hui, grâce aux technologies modernes, nous en sommes arrivés à vivre dans l’excès : nous avons bien plus que nous ne pourrons jamais utiliser, apprécier, ou nous permettre. Et cependant, nous continuons à en vouloir plus. Si bien que, à force de suivre ce penchant, nous finissons par nous rendre malades, par stresser, par grossir, par nous fâcher et par nous endetter. Sans parler des répercussions sur l’environnement. Il est temps de cesser. Les signaux d'alarme retentissent partout : crise économique et crise écologique, le spectre de la récession, la précarité professionnelle et émotionnelle. Et pourtant les médias – et même les gouvernements des pays occidentaux – ne cessent de nous dire : « Achetez ! Ça ira mieux bientôt ! » Voilà pourquoi, selon le journaliste britannique John Naish, nous devons commencer à développer un sentiment de satisfaction au vu de ce que nous possédons déjà, et nous détacher nettement de cette culture de la consommation qui pousse à la création de nouveaux besoins sociaux et matériels.

 

(Du site ibs.it)

 

 


 

 

 

 

libro25AVANZI POPOLO

 

Auteur: Letizia Nucciotti

Titre: Avanzi popolo. L’arte di riciclare tutto quello che avanza in cucina. Storie, ricette e consigli

Éditeur: Stampa Alternativa

Année: 2009

Pages: 336

 

 

 

Il existe une cuisine qui refuse les produits précuits et la notion de « jetable », qui ne se reconnaît pas dans  la simple exécution d’une recette agréable ou la préparation d’un repas occasionnel. C’est celle que propose ce livre, entre recettes, conseils et histoires. Une cuisine qui devient une façon d’être et un mode de vie, qui opte pour la qualité, le soin et l’économie, qui prévoit la rationalisation des espaces et un investissement constant de temps et d’énergie.

Une cuisine où les restes ne sont pas des déchets, mais des aliments à plein titre, utiles pour compléter, enrichir ou transformer un repas, en ajoutant aux satisfactions gustatives d’autres satisfactions, plus profondes et persistantes liées au respect de la nourriture et au fait de ne pas la gaspiller.

Au point de faire des restes pour le plaisir.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 


 

libro4COME LIBERARSI DEL SUPERFLUO E VIVERE FELICI

 

Auteur:

Titre: Come liberarsi del superfluo e vivere felici. Lascia fluire nuove energie eliminando il disordine e le vecchie cose inutilizzate

Éditeur: Il Punto d’Incontro

Année: aprile 2012

Pages: 256

 

 

Des tas d’objets inutiles dans le garage et dans le débarras ; des piles de papiers sur le bureau ; des quantités de courriels restés sans réponse ; des vêtements qu’on ne met jamais : toutes ces choses nous transmettent un sentiment d’oppression et contribuent à faire stagner notre énergie. Come liberarsi dal superfluo e vivere felici aide précisément à ne pas s’accrocher au passé et à tout ce qui nous « tire en arrière » mais à jeter finalement les bases de nouvelles énergies, de nouvelles opportunités, à avoir une vision claire de la vie et des relations. Et cela marche : « faire de la place » à l’extérieur permet d’en faire aussi à l’intérieur !

Mais attention, il ne s’agit pas simplement du « grand nettoyage de printemps » : en jetant ce qu’il y a d’encombrant, d’inutile, voire de nuisible autour de nous, nous parviendrons aussi à éliminer les influences négatives et à libérer notre potentiel énergétique. Come liberarsi dal superfluo e vivere felici est un véritable manuel d’autodéfense contre les conséquences négatives de l’accumulation d’objets inutiles :

  • La peur du changement, représentée par des piles de bric-à-brac
  • Les pacotilles mentales : critiques, négativité, intransigeance
  • Comment faire de la place dans sa chambre, sur son bureau et dans sa vie
  • Comprendre ce qui est utile et ce qui est à jeter
  • Reconnaître les mécanismes de défense qui poussent à l’accumulation
  • Laisser circuler l’énergie

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro26I PADRONI DEL CIBO

 

Auteur:

Titre: I padroni del cibo

Éditeur: Feltrinelli

Année: 2008

Pages: 286

 

 

 

Il y a près d’un milliard de personnes dans le monde qui sont sous-alimentées. Et un autre milliard qui sont obèses. Près de la moitié la population mondiale fait face quotidiennement au problème d’une alimentation insuffisante. L'autre moitié souffre des problèmes typiques liés à une alimentation surabondante et aux dysfonctions qui en découlent : diabète, surpoids, problèmes cardiocirculatoires. Est-ce un paradoxe ? Seulement en apparence, soutient Raj Patel, parce que cet état de choses est l'inévitable corollaire d’un système qui permet à une poignée de grandes entreprises de tirer profit de l’ensemble de la chaîne alimentaire mondiale. I padroni del cibo est une enquête qui dévoile pour la première fois les coulisses de la guerre en cours pour le contrôle des ressources alimentaire : un véritable tour du monde qui passe de l'augmentation des suicides chez les paysans asiatiques aux conséquences catastrophiques des accords commerciaux entre le Mexique et les États-Unis, de l’émergence des mouvements des « sans terre » au Brésil à la faillite de nombreuses productions agricoles africaines, jusqu’aux techniques sophistiquées de manipulation des consommateurs dans le Nord du monde, sa partie riche.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro27LA FAME AGUZZA L'INGEGNO

 

Auteur:

Titre: La fame aguzza l’ingegno. Cucina buona in tempi difficili

Éditeur: Eleuthera

Année: 2005

Pages: 128

 

 

 

Qui a dit que seule la cuisine riche est bonne ? À la suite d’une enquête minutieuse, Andrea Perin a réuni dans ce volume cinquante plats tirés des livres de recettes de la défense alimentaire durant la Grande Guerre. Autant d'occasions pour raconter la culture et les goûts des basses classes italiennes au début du XXe siècle, tout en découvrant que la cuisine a aussi été utilisée comme une forme d’éloignement du pouvoir. Sur fond de plats et d’anecdotes, l’on découvre toute l’histoire des saveurs et de la fantaisie d’une gastronomie inventée sur la base d’aliments pauvres, bien loin de la mythologie douceâtre de la « belle cuisine d’autrefois ». L’auteur a testé les cinquante recettes avec ses amis et s’est fondé uniquement sur leur appréciation gustative pour décider de les publier. 

 

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 



 

 

 

libro28TERRA MADRE

 

Auteur:

Titre:Terra Madre. Come non farci mangiare dal cibo

Éditeur: Giunti

Année: 2009

Pages: 224 

 

 

 

Surtout produite pour être vendue et dépouillée de son sens authentique, la nourriture finit par nous dévorer. L’objet d’attention et d’orgueil qu’elle était est devenu un monstre qui dévaste les campagnes d’un point de vue tant social qu’écologique et crée partout l’iniquité. Ce n’est que si les communautés peuvent choisir quoi et comment produire et distribuer que nous pourrons arrêter la grande machine qui est en train de dévorer la Terre, et nous avec. Une nouvelle édition de « Terra Madre », complétée par les articles de Carlo Petrini qui ont suscité le débat dans les médias.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro29SENZA VIZI E SENZA SPRECHI

 

Auteur:

TitreSenza vizi e senza sprechi

Éditeur: Mondadori

Année: maggio 2010

Pages: 120

 

 

 

Il y a dans l’histoire des moments où il est nécessaire de jeter un coup d’œil en arrière, sur son passé et ses traditions, pour retrouver la bonne façon de faire face aux moments les plus banals de la quotidienneté. Dans la longue et riche histoire de la cuisine italienne, la récupération des restes, à la fin de la préparation d’un plat ou de la préparation d’un repas, relève de la normalité, tant dans les maisons les plus humbles que dans celles où les menus sont très élaborés. L'extrême variété locale de nos recettes est surement aussi le fruit de l’ingéniosité qui, au fil des siècles, a permis d’utiliser pour la préparation de nouveaux plats tout ce que la personne qui range la cuisine à la fin d’un repas trouve à sa disposition. Fabio Picchi a mis au centre de son travail la récupération de la grande tradition italienne, populaire et autre. Dans « Cucina senza avanzi », il présente au lecteur un art très ancien et désormais presque totalement oublié, celui de ne rien gaspiller. Entre mémoire, histoire personnelle et recettes, Picchi ramène dans nos maisons le sens profond et tous les secrets, petits et grands, d’un savoir oublié, redevenu profondément actuel de nos jours.

 

(Extrait du site de Feltrinelli)

 

 


 

 

 

 

libro31SEMPLICITÀ VOLONTARIA

 

Auteur:

Titre: Semplicità volontaria

Éditeur: Anteprima

Année: 2003

Pages: 208

 

 

 

Une foule de conseils pour la vie quotidienne (maison, achats, voyages, alimentation) pour appliquer les principes du respect de l’environnement, d’une vie simple, d’une consommation réduite... Développement durable et commerce équitable sont les nouvelles frontières d’une humanité consciente... Trop de ciment, trop de voitures, trop de nourriture, trop de déchets, trop de produits jetables ne créent pas un monde meilleur. La « simplicité volontaire » est un choix conscient qu’ont fait des millions de personnes dans le monde entier: c’est consommer de façon équilibrée, en respectant l’environnement et en développant l'autonomie personnelle. Ce livre explique comment faire, jour après jour.

 

(Du site macrolibrarsi.it)

 

 


 

 

 

libro32LA FINE DEL CIBO

 

Auteur:

Titre: La fine del cibo

Éditeur: Codice

Année: 2008

Pages: 496

 

 

 

Si l’on regarde les étagères des supermarchés, l’on peut tout naturellement supposer que les rouages du système alimentaire contemporain tournent parfaitement bien. Alors comment se fait-il que nous soyons de plus en plus exposés aux risques d’infection et d’intoxication ? Et pourquoi cette surabondance qui, en Occident a engendré des niveaux préoccupants d’obésité et de diabète, n’a-t-elle pas résolu le problème de la faim dans le monde ?

Roberts a analysé le « problème nourriture » – une des urgences du futur proche – pendant des années, en visitant les établissements de multinationales, des foires agricoles en Chine, des installations de conditionnement de la viande et des chaînes de supermarchés.

 

Avec la diminution progressive des ressources naturelles, les changements climatiques en cours et les sombres prévisions sur l’augmentation de la population mondiale, le tableau qui se dessine est décidément préoccupant : « Nous sommes peut-être à la fin de ce que l’on appellera un jour l’« âge d’or » de la nourriture : cette brève, presque prodigieuse période durant laquelle les aliments semblaient simplement devenir d’année en année plus abondants, plus sûrs, plus nourrissants. En un mot, meilleurs ».

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro33LA RIVOLUZIONE DELLA LATTUGA

 

Auteur:

Titre: La rivoluzione della lattuga. Si può riscrivere l’economia del cibo?

Éditeur: Egea

Année: ottobre 2011

Pages: 216 

 

 

 

Le marché de l’alimentation, de la commercialisation des semences à la distribution des produits comestibles, est entre les mains de quelques puissantes multinationales et de grandes chaînes de supermarchés. Un système globalisé qui a réduit le coût de ce que nous mettons dans nos assiettes, mais à quel prix ? Dans les pays développés, la nourriture rend malade et l’on gaspille des tonnes d’aliments, tandis que dans les pays pauvres, près d’un milliard de personnes continuent à mourir de faim. Perpétuer ce modèle et le généraliser pour faire face aux nouvelles habitudes alimentaires de millions de Chinois, d’Indiens ou de Brésiliens n’est pas une solution durable. C’est ce que disent scientifiques, visionnaires et activistes. Mais surtout, c’est ce qu’ont compris de plus en plus de personnes qui s’organisent et agissent pour changes les choses à partir d’en bas. Un mouvement mondial de paysans des villes, qui cultivent des tomates sur les toits et des fraises dans les potagers collectifs, des consommateurs conscients qui achètent à kilomètre zéro et constituent des groupes d’achat solidaire. Sommes-nous aux prises avec la dernière obsession des élites métropolitaines qui s’ennuient ou ces phénomènes sont-ils vraiment en train de contribuer à réformer l’économie alimentaire de la planète?

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro34BASTA IL GIUSTO (QUANTO E QUANDO)

 

Auteur:

Titre: Basta il giusto (quanto e quando). Lettera a uno studente sulla società della sufficienza.

Manifesto per un nuovo civismo ecologico, etico, economico.

Éditeur: Altreconomia

Année: 2011

Pages: 120

 

 

 

Il est temps de dire « assez » et de nous tourner vers un nouveau civisme, écologique, éthique et économique : ce livre explique pourquoi et comment.

La vision d’une société de la suffisance est au cœur de cette « lettre » à un étudiant qu’Andrea Segrè adresse en réalité à nous tous.

 

La logique de la croissance et de l’endettement nous a conduits à une crise économique et environnementale profonde, ainsi qu’à des inégalités sociales qui ne sont plus tolérables. Basta il giusto est un véritable manifeste pour la construction d’un nouveau monde fondé sur la conscience des limites naturelles et humaines, guidé par une « écologie économique » révolutionnaire, et habité – enfin – par un homo civicus qui pratique un style de vie durable et responsable. C’est un appel aux générations futures, pour passer d’un faux bien-être à un authentique bien-vivre et à un monde plus juste, pour tous.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro34CUCINARE SENZA SPRECHI

 

Auteur:

Titre: Cucinare senza sprechi

Éditeur: Ponte alle Grazie

Année: ottobre 2012

Pages: 158

 

 

 

Épluchures de pommes de terre, salade flétrie, tiges d’épinards, lait caillé, têtes de poisson... cette liste d’ingrédients – qui pourrait être bien plus longue encore – sonne un peu comme celle d’une potion magique. Et c’est bien ce qu’elle est, d’une certaine façon, et pour deux raisons. D’abord, parce que les restes peuvent devenir des plats délicieux : il suffit de savoir comment faire, c’est-à-dire de connaître les nombreuses, surprenantes et excellentes recettes de ce livre. Ensuite, parce qu’en les utilisant, non seulement nous nous traitons mieux, mais nous traitons mieux le monde aussi. Comme nous l’explique Andrea Segrè, avec compétence et avec de nombreux arguments à l’appui, réduire le gaspillage en cuisine, à table et avant encore, en faisant ses courses, est une démarche avantageuse et responsable à la fois, une manière de considérer que la nourriture est à la fois le résultat et une partie d’un processus global qui implique le sol, l’eau, ainsi que les ressources énergétiques et humaines, et qu’elle doit être respectée comme elle l’était dans les cuisines de nos grands-parents. Où les trognons de poire, le pain rassis, les noyaux de prunes et les os étaient des ingrédients à part entière, que l’on ne gaspillait pas.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

libro38ELOGIO DELLO -SPR+ECO

 

Auteur

TitreElogio dello -spr+eco. Formule per una società sufficiente

ÉditeurEMI

Année: 2008

Pages112

 

Ce texte est une véritable « leçon » axée sur les termes « gaspillage » et « suffisance ».

D’acte négatif qu’il est, le gaspillage peut devenir une occasion positive, d’où son « éloge », pour sortir de la crise et des peurs qui animent notre temps.

Cependant, il faut que cette démarche englobe également la logique de la suffisance. Pour étayer le titre de son ouvrage, le professeur Segrè apporte toute une série d’images, d’expériences, de lectures interdisciplinaires et de jeux de mots qui nous mènent sur la voie de la coopération et du développement, de l’économie du don, de la sobriété et de la simplicité. Elogio dello spreco est un guide pour l'économie de la suffisance, un style de vie à la portée de tous.

En annexe, un DVD contenant le texte lu par son auteur, avec les notes de ce dernier, des liens hypertextuels et des films sur l'expérience du Last Minute Market.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

libro35IL LIBRO BLU DELLO SPRECO IN ITALIA: L'ACQUA

 

Auteur:

Titre: Il libro blu dello spreco in Italia: l’acqua

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: giugno 2012

Pages: 208

 

 

 

Nous utilisons tous les jours de grandes quantités d’eau pour boire, cuisiner et laver, mais nous en utilisons bien plus encore de manière indirecte pour produire la nourriture que nous mangeons. Derrière les repas que nous consommons quotidiennement, il y a d’énormes quantités d’eau : près de 3 600 litres pour une alimentation à base de viande et 2 300 litres pour une alimentation végétarienne.

Tant que la nourriture que nous produisons sert à l’alimentation, tout – ou presque – peut être justifié, mais pouvons-nous en dire autant quand nous utilisons l’eau pour produire de la nourriture qui, pour des raisons exclusivement commerciales, n’arrivera jamais sur notre table ? Jeter 200 grammes de viande rouge équivaut à gaspiller 3 000 litres d’eau, qui ont essentiellement servi à l’alimentation de l’animal ; jeter une tasse de café c’est comme jeter à la poubelle 140 litres d’eau. C’est un vrai gaspillage au sein même du gaspillage.

Il libro blu dello spreco in Italia: l’acqua, rapport établi par Last Minute Market dans le cadre de la campagne « Une année contre la gaspillage », présente une analyse documentée, détaillée et mise à jour pour mettre les choses au point et nous inciter à changer nos styles de vie et de consommation.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro36IL LIBRO NERO DELLO SPRECO IN ITALIA: IL CIBO

 

Auteur:

Titre: Il libro nero dello spreco in Italia: il cibo

Éditeur: Edizioni Ambiente

Année: maggio 2011

Pages: 128

 

 

 

De 1974 à aujourd’hui, le gaspillage alimentaire dans le monde a augmenté de 50 % : 40 % de la nourriture produites aux États-Unis finit à la poubelle. En Suède, chaque famille jette en moyenne 25 % de la nourriture qu’elle achète. Et en Italie, chaque année, entre la quantité de nourriture produite et celle qui arrive dans nos assiettes, il y a une différence qui pourrait satisfaire les besoins alimentaires des trois quarts de la population italienne pendant une année, autrement dit de 44 472 914 habitants. Le gaspillage alimentaire a été pendant trop longtemps sous-estimé, peu étudié et peu documenté. Ce problème n’a vraiment éveillé l’attention qu’au cours de ces dernières années, entre autres en raison de la crise économique globale persistante et de l’inquiétude croissante liée au changement climatique. Il libro nero sullo spreco in Italia: il cibo entend analyser la filière agroalimentaire, mais aussi évaluer l’entité du gaspillage et les conséquences économiques, environnementales, nutritionnelles et sociales de la gestion des excédents. Résultat ? Il est possible de consommer moins, et surtout mieux : il suffit de le vouloir.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 


 

libro40IL LIBRO VERDE DELLO SPRECO IN ITALIA: L'ENERGIA

 

Auteur

TitreIl libro verde dello spreco in Italia: l’energia

ÉditeurEdizioni Ambiente

Année: settembre 2013

Pages240 

 

 

 

Quand nous évoquons le gaspillage d’énergie, la plupart d’entre nous pensent aux appareils électroménagers en veille ou aux ampoules à faible consommation. Rares sont ceux qui pensent à la nourriture comme une cause d’inefficience. En réalité, le secteur agroalimentaire consomme et gaspille d’énormes quantités d’énergie, notamment pour éliminer ces déchets que nous prenons avec tant d’indifférence sur notre table pour les jeter à la poubelle.

En 2010, la production agricole laissée dans les champs de notre pays aurait suffi à chauffer 400 000 appartements de catégorie A, mesurant 100 mètres carrés, pendant une année entière. Cette seule donnée est révélatrice de l’inefficience et du gaspillage dans notre système agroalimentaire, tout en soulignant la quantité de ressources dont nous pourrions disposer – du point de vue énergétique également – et que nous sommes assez fous pour ne pas exploiter.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

 

libro39LAST MINUTE MARKET

 

Auteur

TitreLast Minute Market. La banalità del bene e altre storie contro lo spreco

ÉditeurPendragon

Année: marzo 2010

Pages120

 

L’idée du Last Minute Market peut paraître tellement simple qu’elle en est banale, la découverte de l’eau chaude, en somme : récupérer ce qui est encore utile et le donner à ceux qui en ont besoin. Moins de gaspillage, moins de déchets, moins de pollution, plus de durabilité, plus de nourriture, plus de santé, plus d’économies, plus d’investissements, plus de solidarité. L’œuf de Colomb, l’eau chaude, décidément : avec pour seul et unique vrai mérite de l’avoir rendue suffisamment tiède pour que l’on puisse s’y laver les mains sans se brûler. Voilà fondamentalement ce qu’est le Last Minute Market, comme vous pourrez le découvrir en lisant l’histoire de sa naissance et de son développement, les témoignages de quelques partenaires qui ont fait de ce projet une réalité solide et les détails de son fonctionnement dans les différents secteurs où il a fonctionné et fonctionne encore.

 

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 


 

 

 

libro39LEZIONI DI ECOSTILE

 

Auteur

TitreLezioni di ecostile. Consumare, crescere, vivere.

ÉditeurBruno Mondadori

Année: 2010

Pages153

 

 

Antidote pour un monde tête-en-l’air, frénétique et gaspilleur, qui a oublié que l’on consomme pour vivre et que l’on ne vit pas pour consommer, ce livre propose trois brèves leçons, riches de suggestions et d’exemples concrets, consacrées à la consommation, à la croissance et aux styles de vie. Un vade-mecum qui nous rappelle à tous comment consommer moins et mieux, réduire les déchets et limiter ces emballages qui rendent nos courses encombrantes, abattre le mythe de la croissance à tout prix, développer notre intelligence écologique et transformer ce que nous gaspillons en ressources, au nom de la solidarité et de la réciprocité. Par dessus tout, ce livre propose un style de vie plus sobre, plus équitable, plus durable, pour quiconque croit en une société basée sur la suffisance et non sur l'impératif de l’abondance, en une économie légère et transparente, en une science de l’écologie respectueuse du rapport entre l’homme et l’environnement. Pour ne pas gaspiller nos vies, tout comme l’eau, les tomates et le yaourt.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

 

libro37VIVERE A SPRECO ZERO

 

Auteur:

Titre: Vivere a spreco zero

Éditeur: Marsilio

Année: 2013

Pages: 160

 

 

 

 

Que pouvons-nous faire – nous, citoyens actifs, consomm-acteurs, société civile – pour éviter de gaspiller la nourriture, l’eau et l’énergie ? Que peuvent faire les entreprises pour prévenir les fuites et l’inefficacité avec leurs retombées économiques, environnementales et aussi sociales particulièrement négatives pour toute la collectivité ? Que devraient faire nos élus locaux, ainsi que la politique nationale et européenne pour promouvoir une société qui refuse le gaspillage : pas seulement d’aliments, d’eau et d’énergie, mais aussi au niveau des déchets, de la mobilité et des achats ? Que devraient faire nos gouvernements pour promouvoir un modèle de production et de consommation qui permette d’économiser et de renouveler les ressources naturelles et, surtout, de nous faire sortir de la crise ? Dans ce livre, Andrea Segrè trace un horizon – qu’il n’appelle pas par hasard « gaspillage zéro » – qui ouvre concrètement sur une nouvelle vision du rapport entre écologie et économie. Et où la seconde – littéralement, la bonne administration de la maison – fait partie intégrante de la première : la maison la plus grande, notre Terre. Faire plus avec moins, avoir moins de choses et plus de biens, relationnels et communs. Avec tous ses conseils pratiques, Vivere a spreco zero aide à comprendre comment passer d’un faux bien-être à un authentique bien-vivre. Mais le livre est aussi une véritable vitrine de bonnes pratiques – en partie déjà existantes, comme le Last Minute Market – qui, si elles sont mises en œuvre à  l’échelon national et européen, nous mèneront à une société plus juste et responsable, équitable et solidaire, renouvelable et durable, qui respecte les besoins et les droits de tous les hommes.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

 

 

 

libro41SPRECHI

 

Auteur:

Titre: Sprechi. Il cibo che buttiamo, che distruggiamo, che potremmo utilizzare.

Éditeur: Bruno Mondadori

Année: 2009

Pages: 358

 

 

 

Irrationnel et insensé, le gaspillage alimentaire est devenu un problème assez répandu et une priorité de l’agenda environnemental que l’on ne peut plus remettre à demain. Si nous voulons protéger l’instable écosystème terrestre, il est au moins aussi important de réduire le gaspillage que de combattre l'effet de serre ou de sauvegarder la biodiversité. Tristram Stuart, chercheur à Cambridge et farouche opposant de la société de consommation, a décidé de plonger à pleines mains dans le problème du gaspillage alimentaire et de l’aborder d’un point de vue global : pour remonter à l'origine de ce phénomène planétaire, l'auteur a voyagé de l'Europe aux États-Unis, en passant par la Russie et l'Asie centrale, le Pakistan, l’Inde, la Chine, la Corée du Sud et le Japon.

 

(du site ibs.it)

 

 


 

 

 

 

 

 

CONSUMATORI E IMPRESE. LA DISCIPLINA DELLE INFORMAZIONI SUGLI ALIMENTI.

CONSIDERAZIONI MERCEOLOGICHE E NORMATIVE.

 

 

Autori: 

Curatore: Erica Varese

Titre:Consumatori e imprese. La disciplina delle informazioni sugli alimenti. Considerazioni merceologiche e normative.

Éditeur: Giappichelli

Année: 2012

Pages220

 

 

 

Ce volume qui conjugue des connaissances en termes de marchandises, de droit et de gestion, entend être un outil utile pour orienter le lecteur (entreprise ou consommateur) dans l’univers complexe de l’étiquetage des aliments, mais aussi pour amener celui-ci à réfléchir aux dispositions qui seront prochainement appliquées.

Sa première partie est consacrée à l’analyse et aux commentaires, y compris grâce à des schémas et à des diagrammes, du règlement (UE) n° 1169/2011 relatif à la fourniture aux consommateurs d’informations sur les aliments, tandis que la seconde présente les résultats d’une enquête visant à établir la réaction d’un échantillon raisonné de consommateurs piémontais face à l’étiquetage des produits alimentaires.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 


 

 

 

libro41AZZERARE I RIFIUTI

 

Auteur:

Titre: Azzerare i rifiuti. Vecchie e nuove soluzioni per una produzione e un consumo sostenibili.

Éditeur: Bollati Boringhieri

Année: 2008

Pages: 2012

 

 

 

Les événements de ces dernières années démontrent clairement l’importance de la gestion des déchets pour qualifier les aspects fondamentaux de toute l’existence d’une communauté : les formes de vie collective, la « vivabilité urbaine », le respect qu’une population a pour elle-même et auquel elle peut s’attendre de la part des autres, l’image d’un territoire, le rapport gouvernants et gouvernés, la défense de la légalité, la survie ou le développement de secteurs économiques entiers. Finalement – et, malheureusement, au prix d’événements dramatiques et de véritables catastrophes – tous ont eu la possibilité de comprendre que la gestion des déchets n’est pas une activité sectorielle qui peut être déléguée aux professionnels de la branche, mais une question centrale pour le gouvernement de tout territoire. Aujourd’hui, tous ont le devoir de se poser une question fondamentale et la possibilité d’y répondre : les déchets – dans les quantités où nous les produisons aujourd’hui – sont-ils une conséquence inévitable de la production industrielle et de la consommation de masse ou – plutôt – le fruit de choix stratégiques opérés par des forces et organisations engagées dans une course à la croissance illimitée, sans se soucier des dégâts qu’occasionne pour l’environnement cette manière de produire et de consommer ; des dégâts qu’en grande partie, l’on peut et l’on doit prévenir. Supprimer les déchets ne signifie pas qu’il est moins urgent de les gérer. L’objectif premier est la réduction de la quantité et de la dangerosité des déchets produits, ce qui éliminera à la racine le commerce d’abord, puis la production de tous ces « biens » conçus pour se transformer le plus rapidement possible en déchets, à savoir les articles jetables. Mais en second lieu, il faut passer à la récupération des matériaux – c’est-à-dire au recyclage – ce qui n’est possible que si l’on développe au maximum le tri sélectif, au niveau tant des déchets urbains que de ceux des entreprises.

 

(Extrait du site de l’éditeur)

 

 



 

 

 

libro42LA CIVILTÀ DEL RIUSO

 

Auteur:

Titre: La civiltà del riuso

Éditeur: Laterza

Année: 2010

Pages: 138

 

 

 

(…) Nous n’y pensons jamais mais, à l’hôtel, au restaurant, au bar ou au cinéma, nous dormons dans des draps et mangeons dans des assiettes qui ont déjà servi des centaines de fois, nous utilisons des couverts que d’autres ont déjà employés, nous nous asseyons sur des chaises ou des fauteuils où beaucoup d’autres personnes se sont installées avant nous. S’il ne vient pas d’être construit, l’appartement où nous vivons a déjà été habité par d’autres familles. Les villes que nous connaissons existent depuis des centaines ou des milliers d’années. L’ensemble de notre planète a été et est toujours utilisé et partagé par des milliards d’autres êtres humains. Don, troc, partage, abandon, expropriation et saccage pèsent depuis toujours bien plus qu’on ne le pense : l’attitude, les sentiments et les finalités de ces actions nous dévoilent la réalité de notre rapport aux choses, qui est presque toujours chargé de sens et d’affectivité, bien plus que les pulsions ou les raisonnements qui nous guident dans l’achat de quelque chose de « nouveau » Là, ce sont en revanche les sensations et les choix imposés par le marché qui prévalent. Mais le recyclage a un potentiel caché : parce que nous jetons chaque jour des quantités de choses et parce que le recyclage présente des avantages tant pour celui qui vend que pour celui qui achète, qu’il réduit la consommation de matières premières et la production de déchets, qu’il favorise le partage et le mélange des goûts, ainsi que des styles de vie et qu’il augmente l’emploi. Promouvoir le recyclage, c’est possible en peu de temps et cela ne demande que peu de ressources.

 

(Extrait du site de l’éditeur) 

 

 


 

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